TEMOIGNAGES INSPIRANTS DE HAUT POTENTIEL,DEPENDANCE AFFECTIVE

Ils nous donnent envie de faire comme eux …

Ma Signature… Psychothérapeute-Coach et Haut Potentiel

Découvrez ci dessous les témoignages inspirants des hauts potentiels ; sur le travail, la gestion de leur émotion, la dépendance affective. Et comment nous sommes parvenus à ce résultat.

Témoignage : affirmation de soi et Une carrière qui a décollé

« ENFIN une psy spécialisée dans la douance et la prise en charge de l’adulte « haut potentiel »!!!! S’il existe énormément de structures et professionnels pour la prise en charge des enfants et adolescents HP, rien (ou pas grand chose) n’existe pour l’adulte diagnostiqué HP. MmE MAZZA parle notre langage et sait aborder tous les aspects, souvent douloureux, du haut potentiel. Ma vie et ma carrière s’en sont trouvées bouleversées en 1000 fois mieux! j’ai pu faire respecter auprès de ma hiérarchie mes valeurs, mes besoins de ne pas quitter ma provence pour travailler pour eux.

Jeanne Bernard, 35 ans
Développement de potentiel

Témoignage : devenir plus forte après une déception amoureuse et oser

J’ai consulté Mme MAZZA suite à une rupture amoureuse l’année dernière et j’ai trouvé chez elle beaucoup de réconfort et d’aide. Elle m’a aidé à dépasser le regard des autres et mes amis et amies me trouvent plus épanouie…. J’ai même eu le courage de me mettre à mon compte ! Je recommande sans hésitation.

Témoignage : entrepreneur frustré  devenu  professeur 

Cela est peut être la conséquence d’une pensée en arborescence, je suis rarement clair en séance. Je suis souvent submergé par mes idées. Penser signifie pour moi, tenter de voir clair dans un épais brouillard. Je suis donc plus naturellement à l’aise à l’écrit, car j’ai le temps de faire le point et d’extraire l’essentiel.

Au total, j’ai vu 3 psychiatres, 2 neuropsychologues, un psychologue « analyste », deux hypnothérapeutes, 2 psychologues TCC etc… Dans la plupart des cas, j’abandonnais la thérapie, parfois très rapidement. Dans tous les cas, je ne sortais pas de ma zone de confort et rien ne changeait ou très lentement. J’ai continué à chercher la personne qui pourrait m’aider à avancer, à grandir. Pour la première fois, j’ai ressenti que vous pensiez sincèrement que je pouvais déposer mes difficultés, avoir une vie épanouissante et pour la première fois, j’ai pensé que ça pouvait être possible, que peut-être, je pouvais m’en sortir…

Nos entretiens m’on permis de me remobiliser, me redonner confiance et j’ai osé présenté le Capes de mathématiques et le réussir. Aujourd’hui, je me sens reconnu professionnellement, et je travaille auprès d’enfants à qui j’essaie d’insuffler toute la force que Mme MAZZA m’a donné.

Jules, 29 ans
Développement de potentiel

Témoignage : s’ouvrir à une vie privée

J’ai fait appel à Madame MAZZA il y quelques mois à une période où j’avais besoin d’aide pour sortir d’une vie qui ne me convenait plus. J’ai tout de suite été frappée par sa pertinence, sa lucidité et son franc-parler, des qualités plus qu’appréciables dans la démarche qui était la mienne.…. Séance après séance, elle a su, avec patience et bienveillance, me sortir du mutisme dans lequel je m’étais enfermée depuis des années, m’aider à me poser les bonnes questions et faire en sorte que j’y amène des réponses. Grâce à elle, j’ai fait des progrès considérables et je me sens aujourd’hui beaucoup mieux dans ma vie. Je la recommande sans hésiter.

Témoignage d’une adolescente descolarisée qui a retrouvé son chemin

« Mes meilleurs vœux. J’espère que vous allez bien depuis tout ce temps, j’espère que vous vous souvenez de moi, c’est K on va dire Karine , la surdouée qui a redoublé sa 3ème. Je viens pour vous donner un peu de nouvelles, je ne sais pas si cela va changer grand-chose à votre vie,… je trouve que j’ai fait du chemin en 2 ans… Du coup j’ai maintenant 18 ans, je suis en première …. STMG ( sciences et technologies du management et de la gestion) avec de bonnes notes (je compte faire ou soit du management ou soit de la pub, ou com). Je vis avec mon amoureux depuis bientôt 1 an, il a quitté SA VILLE pour venir faire ses études ici, on est fous l’un de l’autre et on est les plus heureux du monde. Voilà tout, à bientôt . »????

Témoignage de resociabilisation pour un HP …

J’ai décidé de consulter Madame Mazza il y a quelques mois car je cherchais quelqu’un qui pourrait me répondre à propos des hauts potentiels intellectuels. Elle m’a permis de mettre lumière des comportements ou habitudes très subtiles que je n’avais pas remarqué. Grace à son expérience et sa bienveillance, j’ai rapidement progressé dans mon rapport aux autres (famille, amour, au travail). A la suite d’un déménagement, j’ai continué nos séances par Skype avec les mêmes résultats! Nos conversations sont toujours très enrichissantes. Pour moi qui ne suis pas trop méthodique, j’apprécie beaucoup sa méthode de travail qui me recentre et me fait me poser les bonnes questions. Je la recommande avec grand plaisir.

Erwin Parnin, 26 ans

Développent haut potentiel 

« TRAVAIL DE DEUIL … »

« J’ai consulté madame Mazza sur les conseils de mon ostéopathe. Je souhaitais qu’elle m’accompagne dans un travail de deuil suite au décès de ma mère, décès que je n’avais pas réussi à surmonter malgré la consultation de psychiatres et la prise d’anti dépresseurs (et ce, depuis plus de 7 ans) . Son écoute bienveillante, sa grande disponibilité et la qualité de nos échanges m’ont été précieuses et m’ont permis de me sentir mieux très rapidement. J’ai même pu envisager de mon propre chef et avec son aide un sevrage partiel aux antidépresseurs et c’est pour moi une belle victoire! Je l’en remercie infiniment…”

Transformation sur les plans professionnels et personnels

On part de loin. Camille (nom anonymé) est HP, adulte, maman. Elle tergiverse 6 mois avant de débarquer au cabinet ….  Ses premières phrases seront : « je m’appelle C… j’ai 38 ans, j’ai un fils qui a 10 ans et qui est en famille d’accueil depuis ses 3 mois, j’ai de l’argent pour 19 séances». Sa vie privée est violente, elle « pète les plombs », vit hyper mal les frustrations. Le boulot, c’est pas mieux… Elle vivote dans un job après avoir démissionné de la fonction publique, après des études élitistes. Elle n’a réussi à se faire au système. Elle a craqué. “Merci Mme MAZZA, jamais je n’aurai cru un jour que je pourrais me passer de vous… Je vis en S……….. j’ai multiplié mon salaire par trois, mon fils vit avec moi et je voulais vous dire que mon amoureux m’a demandé en mariage, à la date de notre rencontre anniversaire… Merci encore”.

 « Ma vie a changé …»

«Mme Mazza est une excellente thérapeute. Elle m’a été recommandée par une amie et je l’en remercie grandement. Ma vie a beaucoup changé grâce au travail accompli avec l’aide, les conseils et le soutien de Mme Mazza. Super job, retrouve, merci de m’avoir supporté dans mes hauts et mes bas. Elle m’a donné les clés pour avancer aussi sur le plan personnel.Je suis désormais actrice de ma vie et non plus victime de ce qui m’arrive.

« Avancer enfin …»

Je recommande mille fois à celles et ceux qui n’arrivent pas à avancer dans leur vie, parfois dans la souffrance, qui ont l’impression que quelque chose ne va pas ou qu’une situation est insurmontable, de franchir le pas et de rencontrer Mme Mazza.

J’ai personnellement rencontré de nombreux psy, reçu différents diagnostics, pendant des années mais rien n’évoluait, avant de rencontrer Mme Mazza. Elle a su très rapidement me montrer la direction du travail à mener et me transmettre la force et l’envie d’avancer.

Mme Mazza est d’une remarquable compétence, bienveillante, et profondément humaine. Son investissement est constant et sincère. Il n’y a pas de magie, mais une fine compréhension et une guidance dans le travail à effectuer, qui produisent des résultats. Ma vie a complétement changé, durablement. Merci infiniment.

« D’hospitalisation à un parcours de futur psychologue…»

« Sensation de manque, de vide. Plus de maux que de mots pour expliquer, pour traduire ce puissant mal être. Deux hospitalisations, pour tenter de comprendre… des traitements, des diagnostics. Plusieurs tentatives de thérapie: psychologues, psychiatres, mais rien n’y faisait, on ne m’entendait toujours pas , on ne décodait pas ce que je n’arrivais à formuler, ce qui paraissait bloqué, inaccessible .

A ce moment là je ne l’aurai jamais cru si on m’avait dit que dire, parler pouvaient guérir les maux, le corps, le psychique. Que dire pouvait m’éviter de m’emprisonner, de m’hospitaliser.

Il y a plus de deux ans maintenant, je décides une bonne fois pour toute de m’engager à suivre une thérapie, faire en sorte que ma vie change, évolue… Alors que jusque là rien n’avait été bénéfique de ce coté là.
Mais la vérité c’était que seule je ne pouvais plus avancer. Au mieux, je stagnais. Au pire, je m’écroulais de nouveau remettant en scène les mèmes schémas: Addiction au cannabis, boulimie, fuite, dépendance, soucis dans mon intimité etc… Un vrai chantier! Ma vie était comme éclatée, dispersée.

Je suis guidée d’une certaine manière vers le bureau de Mme Mazza. Je n’avais jamais ressenti autant de chamboulement internes, si vite. Sa totale disponibilité, son écoute même face au silence a été pour moi tellement déroutante. Je me suis sentie très vite comprise, sans même pouvoir l’expliquer, c’était un fait.
La manière de gérer ma vie, de me gérer tout court s’est modifiée considérablement, et continue aujourd’hui. Madame Mazza est une excellente guide, guide attentive vers la connaissance de soi, vers son propre chemin. Guide pour apprendre à grandir et tenter de gagner son autonomie. C’est devenu un travail passionnant à la recherche du bonheur, à la découverte de soi et celle de l’ouverture aux autres; au monde. Il est nécessaire de s’accrocher et d’accepter les remises en questions, tenter le lâcher prise!! (Je l’accorde, c’est loin d’être évident)

Grâce à son écoute attentive et à sa participation active, je sais au fond de moi que plus jamais je ne me sentirai seule, comme si quelque chose de sécurisant qui n’avait jamais existé auparavant, s’était installé en moi, et me redonnait l’envie d’avoir envie, de croire que tout ce que je souhaite dans ma vie est possible. De mettre du sens au mot bonheur, et tenter de l’atteindre.
Tout le travail fait avec Mme Mazza me permet aujourd’hui de mettre plus d’ordre dans beaucoup d’aspects de ma vie. Son investissement personnel, humain et altruiste m’ont sans aucun doute aidé à ne plus avoir besoin de traitement, et m’éloigner progressivement de tout type d’addiction et de comportements en somme autodestructeurs.

Guérir certaines blessures profondes, pour continuer à avancer, à dépasser les obstacles qui n’ont plus lieu de me barrer la route. Je comprends aujourd’hui pourquoi « on peut mourir de ne pas dire » M’a telle dit un jour. L’importance du dialogue, des mots, de l’expression verbale.
La confiance réciproque engagée dans la thérapie avec Mme Mazza me permet de ne rien lâcher, malgré la distance géographique, l’utilisation de skype me permet de poursuivre cette introspection.
Au final il est important de se sentir soutenue et comprise. Puis c’est comme un travail d’équipe, plein de bienveillance et de respect. Mon seul regret est de ne pas avoir rencontré mme Mazza plus tôt, ce qui m’aurait pour sûr évité toute cette errance, ces nombreuses années de mal être, ces hospitalisations, et ces croyances limitantes que je pensais cristallisées.
Aujourd’hui j’apprends ce que c’est que de s’aimer, de se respecter, de prendre soin de soi, de sa santé. Le passé s’estompe au fil du temps, et l’avenir m’apparait plus serein, plus clair chaque jour.

Un texte long mais que je juge nécessaire pour témoigner. Il n’est jamais trop tard et la vie devient surprenante quand les bonnes rencontres se font.

Je conseille Mme Mazza à toute personne désirant aller mieux, désirant guérir et avancer dans sa propre vie, et ce en toute attention et respect.

Cette patiente aujourdhui fianlise un parcours de psychologue sous ma supervision, je pense qu’elle fera un “malheur” pour des gens qui ont traversés les mêmes épreuves qu’elle. Je la soutiens et l’encourage.

Loli Lola, 32 ans

Developpement de potentiel

Sortie de la dépendance affective, elle a epouse son bad boy

… faîte de frustrations. Une relation sentimentale qui me faisait beaucoup souffrir. Concrètement cela faisait 3 ans et demi que j’avais une relation chaotique avec un homme. Il était marié, puis divorcé mais malheureux, laissé par son ex-femme, puis libre et à mes côtés mais toujours dans la crainte ou le refus de s’engager.

De mon côté, j’avais une attitude très effacée. Je gardais mes ressentiments pour moi. Aux côtés de cet homme, je vivais en alternance toutes ces phases passionnelles de conquête, puis les frustrations le plus souvent inexprimées – de peur de le perdre -, puis la réelle détresse psychologique, et enfin la séparation, de mon fait, ne supportant plus d’être une amoureuse malheureuse, avant de revenir à la case initiale de la phase passionnelle de reconquête, mon amoureux plein de promesses de changement et d’engagement. Ainsi les phases se succédaient. Mon sentiment amoureux, perdurait. L’état de détresse et de souffrance psychologique perdurait donc aussi.

Il ne m’était pas difficile de me rendre compte que j’étais déprimée et que j’avais besoin de m’en sortir. Il me fallait de l’aide, une toute autre aide que celle procurée par l’écoute amicale des amies. Il me fallait comprendre pourquoi j’agissais de cette manière –de façon récurrente, dans ma vie sentimentale comme dans d’autres domaines de la vie, mais je ne savais vers qui me tourner.

Au cours des 10 années précédentes, j’avais tenté à plusieurs reprises de faire une démarche de psychothérapie. J’étais sportive de haut-niveau à l’époque, aménorrhée et anorexique-boulimique et phobique devant tout ce qui représentait la sexualité masculine.

A l’époque, quelques lectures dans les magazines et des conversations avec ma sœur qui consultait un médecin psychiatre, me donnèrent l’idée de prendre RDV chez un psychiatre; Une dizaine de séances, pour moi tout à fait stériles, se sont enchaînées. Il me recevait un quart d’heure, commençait la séance par un laconique « je vous écoute », et ne disait pas plus pendant la séance proprement dite. Je n’ai pas eu la sensation de travailler sur moi. Un jour j’osais lui dire que je ne voyais pas ce que m’apportait ces séances, car je pouvais tout aussi bien parler à une amie et j’ai cessé de prendre RDV.

Ce type d’expérience s’est renouvelé des années plus tard. Dans un même élan de vouloir comprendre et combattre mes penchants anorexiques-boulimiques, je voulais redémarrer une psychothérapie. Mais je m’orientais toujours vers des psychiatres. Ils m’ont laissé m’exprimer sans mot dire, et cela ne me convenait pas du tout. J’étais déçue et pas plus avancée…

Alors à l’automne dernier, sur Marseille, 3 amies me parlèrent de leur psychothérapeute respectif, J’ai choisi de m’orienter vers Mme Mazza.
Avant le premier RDV, je me souviens que j’avais un mélange de soulagement et aussi d’appréhension à l’idée que cela pouvait ne mener à rien, comme les fois précédentes,

Dès le premier RDV, ça a comme on dit à Marseille « fité ». Mme Mazza m’a posé des questions, et a voulu en apprendre le plus possible sur les grandes étapes de mon passé, en l’espace d’une heure. Le ton était donné. Je savais que j’allais devoir réfléchir sur moi en étant orientée.
J’apprenais à faire ressortir de ma mémoire des évènements et des émotions qui m’ont permis de faire petit à petit sauter des verrous, de comprendre l’origine des attitudes que je pouvais avoir et qui constituaient des freins à ma vie.

Parfois, par des prétextes d’évitement bien enfouis, je ne réfléchissais pas du tout aux questions abordées en séance, de sorte que je ne travaillais que devant Mme MAZZA. Parfois les verrous étaient tels qu’il me fallait le fameux « divan » pour pouvoir, laisser mes ressentis et pensées les plus profonds s’exprimer.

Je me souviens que, par moment, je n’éprouvais pas une motivation démesurée à l’idée de me plonger dans les limbes de ma vie passée et de mon inconscient. Mais 2 minutes après avoir franchi le pas de la porte, le processus de travail sur soi repartait de plus belle, et pas une seule fois, pas une, je ne suis ressortie de là en me disant autre chose que c’était incroyable combien j’avais appris sur moi en l’espace d’une heure.

Petit à petit, les mécanismes sous-jacents à mes attitudes «anti-bonheur» étant compris et identifiés, il fallait apprendre à passer à l’acte, pour pouvoir les gérer et faire en sorte de les remplacer par d’autres. Il ne s’agissait pas de changer tout de ma personnalité, mais de découvrir des agissements et des déterminations qui façonnent bien davantage le bien-être et le bonheur que mes anciennes stratégies d’évitement et d’effacement.

Je résistais beaucoup, pour autant, Mme MAZZA s’est investie durablement, à chaque séance, ainsi qu’à travers nos échanges par mail. Par tout ce travail, elle m’aura conduite à un vrai cheminement de fourmi vers la voie au bonheur. Pour tout cela, je lui en serai toujours infiniment reconnaissante.»

Cecile, 29 ans
Marié, deux enfants

Travail sur la dependance affective

“J’ai 20 ans et ça ne marche pas avec les garçons…”

« J’ai 20 ans, j’ai rencontré un garçon, ça va bien, on se voit souvent, ça se passe bien. Moi,  les hommes,  ça va   maintenant. Avant, je stationnais à côté du téléphone. C’est dur, les garçons ne veulent que s’amuser, un truc sérieux, avec eux , c’est dur…. Il faut sortir en chercher d’autres, aller vers les gens. » Avant lorsque je rencontrais un garçon, je voulais absolument que ça marche, qu’il m’aime bien et qu’on ait une relation sérieuse. Du coup, même si le garçon en question ne me plaisait pas vraiment, je faisais  «tout» ce que je pouvais pour lui plaire. Je pensais alors que la meilleure façon de le garder était de coucher avec lui dès le premier rendez-vous. Je savais pas qu’il fallait pas que je le fasse! Malheureusement,  pendant près d’un an,  j’ai rencontré une dizaines de garçon et aucun n’a voulu avoir de relations sérieuses avec moi. Au début, parce que je prévenais,  ils disaient tous «oui» mais une fois qu’on avait couché ensemble très peu ont continué a me donner des nouvelles. Tout ce que je voulais,  c’était avoir quelqu’un qui tenait a moi. J’essayais qu’il y ait une histoire entre nous, j’avais envie qu’on s’ intéresse a moi  et je faisais tout pour que ça marche et du coup j’ étais déçue. Les séances chez la psy m’ont fait me rendre compte que j’ avais le droit de choisir, que c’était moi qui prenait la décision, que je n’étais pas prise au piège de la personne si elle ne me convenait pas, elle m’a fait comprendre que j’ai pas besoin de ça, que je peux avoir plus. Et je me suis fait des «potes» en restant amis au début, le temps de voir si ça pouvait marcher…. du coup, j’ai plus de regrets, plus de questions après, c’est NO REGRET. D’ailleurs, les seuls qui on été honnêtes sont ceux qui ont accepté de garder contact. Au début, le premier, j’ osais pas trop lui dire si ça le faisait pas et au bout d’un moment, même si ça fait pas plaisir et bien, je lui ai dit au téléphone, que s’il faisait pas plus d’efforts et bien ce serait quelqu’un d’autre… il a pas répondu à mon message ca veut bien dire ce que ça veut dire… C’est un mec que je ne dirais pas «égoïste» mais il fallait que ce soit facile, que j’habite dans la même ville, pas trop de complications, que ce moi qui me déplace tout le temps pour venir le voir…. Au fond, je savais que tout ça était stupide et que si un garçon voulait vraiment être avec moi,  il accepterait mes défauts aussi bien que mes qualités et il serait d’accord pour attendre avant de coucher avec moi. Mais je me voilais la face et donnais en quelque sorte l’image d’une fille facile. Aujourd’hui ,  j’ai compris, la thérapie m’a fait «piger» que c’est à moi de décider qui me convient et qui ne me convient pas. Ce n’est pas à moi de changer mon caractère et à faire tous les efforts pour être acceptée et aimée par n’importe quel garçon. Tout simplement,  car je mérite mieux que n’importe quel garçon. Je mérite LE GARÇON  et j’ai donc le droit de dire à ceux qui ne me conviennent pas que c’est le cas. Je ne m’attache plus aussi vite aux gens. Maintenant, c’est pour de bonnes raisons et non plus pour être juste  «aimée» par quelqu’un.

Kimberley, 20 ans
Dépendance affective

De impuissant sexuel à vie amoureuse épanouie

31 ans et un sérieux problème sexuel qui durait depuis l’adolescence. L’impression de ne pas vivre comme les autres, de passer à côté de quelque chose. La séduction, le sexe, le plaisir avec une femme, la vie à deux, étaient comme des choses interdites. 31 ans et une vie sexuelle plus que perturbée, qui a commencé tard, il y a six ans à peine, avec une prostituée. Glauque, très glauque.

Aujourd’hui pourtant, je viens de sortir du tunnel, je suis devenu ambitieux, je n’ai plus de problème sexuel et je vois la vie avec optimisme, en étant sûr de ma réussite… six mois de travail avec Mme MAZZA m’ont permis de remonter à la surface.

L’adolescence, l’éveil sexuel. Premières érections, premières masturbations et une addiction devant le minitel rose. Collège, lycée, un manque total de confiance en moi, et une telle incapacité  à aller vers les filles que je me demande si ce ne serait pas plus facile avec des garçons…

Le sexe dans ma famille: un tabou qui m’a fait beaucoup de mal, parce que mon éducation se fit à travers des films X. Je me suis alors rendu compte que mon sexe n’était pas tout à fait comme celui des acteurs  et que mon gland ne se décalottait pas…  Gros sentiment de malaise de ma part. Incapacité totale de parler de ça à mes parents. Mutisme total.

Car les années vont passer. Le lycée, le bac, la fac… avec cette impression d’être handicapé mais de ne pas pouvoir en parler à qui que ce soit, de mentir aux copains, s’inventer de fausses copines, rencontrer des filles mais ne jamais oser les draguer, de peur qu’elles veuillent de moi…

D’un autre côté, ma vie professionnelle est passionnante. De l’extérieur, j’ai la vie parfaite.  A l’intérieur de moi, je sais que j’ai de gros problèmes. A 24 ans, j’ai honte mais je pousse la porte d’un médecin. Il m’examine et me rassure: « Il faut faire une opération, juste un  allongement du frein. C’est bénin. »  L’opération se déroule quelques semaines plus tard, dans le plus grand secret. Mais au final me voilà avec un sexe tout neuf.

Seulement voilà. Pas facile de débuter sa sexualité à 24 ans, la crainte me fait me tourner vers des professionnelles, des prostituées. Un premier rendez-vous,  je panique et je fuis  la tête pleines d’angoisses… La troisième tentative sera la bonne.

Me voici prêt à faire de vraies rencontres… mais je n’y arriverais pas. Pendant plusieurs années, le schéma va se répéter et s’installer sournoisement dans ma vie. Je suis un garçon qui n’arrive à assurer qu’avec des prostitués. Dès qu’il s’agit d’une rencontre classique, sans échange d’argent, je suis tout mou…

Dès lors, quand une femme me plait je n’ose pas le lui dire réellement. Alors je prends la place de l’ami, le confident et je souffre. Je triche, je mens, je suis frustré, perdu. Mais un soir d’avril 2008, je dis à une femme que je suis follement amoureux d’elle et sa réponse, elle me dit qu’elle ne peut sortir avec son meilleur ami, va me pousser à aller voir un psychothérapeute. Je suis au bout du rouleau, complètement paumé. Pas facile tout de même d’aller chez un psy. On a tellement d’a priori négatifs. On s’est dit tellement de fois: «Je ne suis pas fou, je n’ai pas besoin de ça».

Premier rendez-vous. Beaucoup d’appréhension et de courage pour surmonter sa peur. Les premières questions que me posent ma psy. « Parlez moi de vos parents ». Le grand déballage. Des larmes. Un drôle de truc, jamais vécu ça. Et ma psy qui me dit: « Vous avez en effet besoin d’aide. Nous allons nous voir chaque semaine, au boulot ! »
Je raconte des choses, je réfléchis, j’échange. Elle me parle de ma mère, de castration. Au début je n’y comprends rien. Selon elle, je suis trop proche de ma mère pour avoir des rapports sexuels avec une autre femme. Je n’y crois guère et pourtant elle a raison. « Comportez-vous comme un adulte avec vos parents » me répète-t-elle. Pas comme un parfait petit garçon avec son papa et sa maman… Je ne sais pas comment faire, comment m’affirmer, comment faire à 31 ans ma crise d’adolescence…

Et puis, l’évidence apparaît:  Je ne veux plus jouer le rôle du fils parfait à mes parents, toujours faire semblant et je commence à marquer mes distances vis à vis d’eux. Ma mère le prend mal, insiste pour me voir. Je tiens le coup,  je suis trop fier. Je me sens libre. J’ai enfin osé dire que quelque chose n’allait pas à mes parents. J’ai l’impression d’avoir voulu faire ça depuis longtemps et de ne jamais y être parvenu.

J’ai décroché de mes parents mais je galère, je souffre beaucoup, à ce moment-là, je ne sais pas trop vers où ma thérapie va me mener. A trois jours du 25 décembre, je vais voir ma psy en étant sûr que je serai tout seul à Noël. En sortant, je suis décidé à appeler ma mère pour reprendre contact… Sacrée volte-face !

J’appelle ma mère, je leur dis tout. De mes problèmes sexuels jusqu’à la thérapie… Ma mère est en larmes. Mes parents m’ont compris, ils savent, ils sont avec moi. Et en écrivant ses lignes, je ressens encore quelque chose…  Comme un immense bonheur qui m’envahit. Parce que ce soir-là, je me souviens avoir aussi vu de l’admiration dans les yeux de mes parents. Trois mois de thérapie et déjà un pas décisif.

Nous sommes au début de janvier 2009, internet me permet de rencontrer une nouvelle jeune femme. Et, comme si c’était naturel, je lui parle de mes problèmes… Le courant passe. Elle aussi me comprend. On essaye de faire l’amour, je n’y arrive pas.

Nouvelle discussion avec ma psy, nous sommes en mars 2009. La phrase clef : « ……….. Vous n’avez pas de problèmes d’érection… » Les tentatives se succèdent et, un matin, je suis fier de moi. ça marche !

Ce rapport et tous ceux qui vont suivre me libèrent totalement.   Me voilà prêt à affronter le monde, rencontrer des femmes, les aimer, me construire une vie telle que je la souhaite, sans subir et me donnant les moyens d’y parvenir. 32 ans, et la vie qui prend un vrai sens désormais, après six mois d’une thérapie efficace, avec un vrai résultat. Avec surtout, en conclusion, la certitude que rien n’est impossible…

Noël, 31 ans 
Impuissance psychologique

Travail d’estime de soi